Le journal d'une mandragore

← Retour au journal

mars 2009

Jouir sans entrave

Parfois, dans le train ou le métro, quand nous nous faisions face et que la rame était peu peuplée, je glissais lentement ma main le long de ta cuisse et sous ta robe je repoussais tes dessous. Tu me regardais avec un sourire contrarié mais jamais ne me repoussais. Au fur et à mesure que ma main se promenait, je voyais ton visage rougir de plus en plus. À la fin, tu jouissais en silence, en te mordant les lèvres, me fixant avec tes yeux gris d'un regard accusateur. Une fois, une vieille dame nous a vues, a compris, et s'est mise à rire d'un sanglot fort et imposant avant de sortir du (...)